Mon premier roman jouit d’une nouvelle jeunesse. Alors qu’il n’était (presque) plus lu, j’en ai vendu plusieurs exemplaires lors de mes événements récents, dédicaces et salons.

Comme je préviens souvent, c’est le premier. Il n’est pas sans défauts. Il est peut-être aussi celui qui est le plus « vrai », le plus « brut ». Des répétitions, des maladresses, sans doute quelques bricoles oubliées. Mais des sentiments authentiques, livrés en direct (ou presque) de mes pensées vers le papier.

Et Lady Gwen l’a bien compris :

La fin est… surprenante… Cette fin fermée n’est pas là pour plaire mais elle est logique et juste, quoiqu’un peu brute et rapide.

Mais le récit est prenant et original, la romance est survolée mais cela se comprend vu la situation. (…)

Le concept des rêveurs est innovant et original. C’est tout un nouveau monde qui s’ouvre. Pour un premier roman c’est très réussi. Je précise que c’est un récit à la 1ère personne.

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